De Nîmes à Arles en passant par Tarascon

De Nîmes à Arles en passant par Tarascon

négatifs sur plaques de verre 6½x9 cm – années 30

La balade continue vers l’est, et remonte le temps avec une nouvelle série de pierres, gallo-romaines cette fois.
Nîmes et ses environs, Tarascon et Beaucaire et Arles pour finir.

Nîmes. La romanisation de la cité et sa position commerciale majeure va lui permettre un essor qu’attestent encore les monuments du début de notre ère qui sont parvenus jusqu’à nous. Le pont du Gard, symbole de l’ingénierie des romains et de l’importance de l’eau pour cette culture, la Maison Carrée, lieu de culte, les arènes, lieu de spectacle, mais aussi les Jardins de la Fontaine (XVIIIe siècle) construit autour de la source Nemausa et le Temple de Diane.

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A quelques kilomètres de Nîmes, Tarascon et Beaucaire se font face de chaque côté du Rhône.
Le château de Tarascon domine le fleuve de son impressionnant mur depuis le XVe siècle. Le « Bon » roi René d’Anjou y séjourna et fit beaucoup pour la région, comme son nom ne l’indique pas.
De Beaucaire, on peut voir ici le château (XIIIe siècle) et la chapelle Saint-Louis.

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Arles enfin. Là encore, l’arrivée des romains donna un nouvel aspect à la ville. Le théâtre, l’amphithéâtre, et les Alyscamps en sont les traces encore visibles.
Les Alyscamps sont une nécropole de l’époque romaine et paléochrétienne. Quelques sarcophages et stèles y sont restés. Les ruines de l’ancienne abbaye et de l’église St-Honorat montrent également l’importance que le site avait pris pour les chrétiens. Les reliques de Saint Trophime y furent conservées jusqu’au XIIe où elles furent déplacées dans la cathédrale dont le cloître attenant est ici présenté.
De l’arlésienne, pas de trace.

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